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CHAPITRE 8


On reconnait l’Arbre à son Fruit


Si nous avons cité Primo Lévi à la fin du chapitre deux, pour souligner le « bon fruit » que l’arbre doit porter, ainsi que les trop fréquentes tromperies prophétiques, ce n’était pas afin de rejeter tout ce que Dieu veut nous apporter pour nous rendre vainqueur, mais afin de mettre en garde à ne pas se jeter à corps perdu, dans tout ce qui est dit venir de Dieu. C’est d’ailleurs ce que nous dit 1 Jean 4-1 : Bien-aimés, n'ajoutez pas foi à tout esprit ; mais éprouvez les esprits, pour savoir s'ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde.

Si, dans les décennies qui suivirent la Crucifixion de Jésus, l’apôtre Jean parlait ainsi, cela est d’autant plus vrai aujourd’hui, au travers des paroles d’un Vladimir Poutine, ou d’un patriarche Kirill, qui ont pris pour vérité le mensonge. Si cela est particulièrement vrai pour eux, tout humain sur terre est susceptible de se laisser séduire par ses propres désirs et certains vont jusqu’à les annoncer comme venant de Dieu. C’est pourquoi ces écrits ne sont pas fait dans un caractère prophétique, en particulier pour le chapitre présent, car la sagesse demande souvent un peu de réflexion pour ne pas laisser libre cours à nos émotions.

Les faits historiques relatés dans ce chapitre, le sont pour nous apporter une espérance en Christ, car lui nous surprendra toujours, si nous savons lui faire confiance, dans la communion avec le Saint-Esprit, plutôt que d’entrer dans des analyses de la situation mondiale actuelle, pour leur appliquer toute forme de protectionnisme.

Comme nous l’avons déjà lu en Deutéronome 5-9/10, Dieu maudit jusqu’à la troisième, voir la quatrième génération de ceux qui se détourne de lui, mais il bénit jusqu’à la millième génération de ceux qui lui sont restés fidèles et c’est cette espérance, à laquelle nous devons rester attachés pour pouvoir surmonter avec foi, les temps difficiles à venir.  

S’ils peuvent paraitre insurmontables face à la montée des intégrismes et de tous les régimes totalitaires qui leurs sont attachés de par le monde, nous devons savoir que l’ennemi de nos âmes s’y prend toujours de la même façon, par des paroles trompeuses qui nous conduise à l’auto protection, plutôt qu’à faire confiance à Dieu. C’est parce qu’il sait aujourd’hui que le temps lui est compté, avant qu’il ne soit lié pour mille ans, qu’il a préparé des dictatures qui lui ressemblent, afin d’en retrouver certains effets néfastes envers Dieu dans diverses sociétés, lorsqu’il sera délié pour peu de temps à la fin du septième jour de Dieu.

Si lui l’envisage ainsi, c’est donc à nous de contrecarrer ses plans, sans prendre pour argent comptant les paroles proférées contre l’occident, par toute forme de régime qui souhaiterait réinstaurer des consensus de société pour faire régner la loi divine ou ce qu’ils considèrent leur bon sens. Si nous y retrouvons les régimes totalitaires de Messieurs Kim Jong-un, ou Xi Jinping, il n’en va pas différemment de ceux issus de prises d’otages du peuple chrétien, que ce soit en Russie, ou au travers des mouvements extrémistes Islamistes, dont la même prise d’otage est plus ancienne. Tous ces régimes tentent de s’imposer à leur peuple et au monde entier par la peur de la répression, afin que personne ne se tourne vers le vrai Dieu d’Amour en Jésus-Christ et l’Amour de son prochain. Si nous savons donc faire confiance à Christ, Satan aura fait une œuvre qui l’aura trompé une dernière fois, car comme nous pouvons déjà en voir l’effet au travers des multiples adhésions à l’OTAN, ses tentatives d’intimidation au travers des théocraties, en conduiront sans doute un grand nombre à prendre conscience de la duperie qu’ils ont subi depuis des siècles.

C’est aussi en cela que nous ne devons surtout pas nous laisser impressionner nous-mêmes par la peur de leurs propos, même s’ils sont proférés au nom de Dieu, ou simplement le sous-entendant.

Il s’agit d’un devoir chrétien que d’éprouver devant Dieu des propos qui nous sont adressés en son nom, car au jour de notre comparution devant Dieu, personne ne pourra dire « je ne savais pas », vu que le Saint-Esprit est dispensé à quiconque le demande humblement à Jésus pour faire sa volonté. Nous devons donc plus que jamais vouloir reconnaitre l’arbre à son fruit, car il ne s’agit plus seulement de confesser Jésus, comme le menteur sait le faire, mais de discerner le vrai du faux en rapport à l’emploi de la parole de Dieu. Nombreux sont ceux aujourd’hui de par le monde qui utilisent, non seulement la parole de Dieu à leur avantage, mais également le Saint-Esprit, pour tenter de mieux convaincre leurs semblables d’entrer dans des voies autres que celles de la raison de s’Aimer les uns les autres, dans le respect de chacun. Certains partis politiques parmi les nations que nous venons de citer, ou même parmi certaines démocraties chrétiennes, se trouvent alors entrainées à mettre Dieu en avant, comme s’il s’agissait d’un saufconduit d’intégrité, et une garantie de Dieu vers la puissance, là où la parole de Dieu nous dit plutôt le contraire en ce qui concerne les temps présents.   

Comme nous l’avons déjà cité au chapitre deux, au sujet de l’Église de Philadelphie qui aura acquis sa couronne de sainteté déjà sur cette terre, celle-ci n’aura que peu de puissance, selon Apocalypse 3-8. Cela prouve donc combien celui qui est dans la recherche de puissance parmi les nations, n’agit pas dans le véritable désir de la sainteté divine.

C’est à cette sainteté que notre espérance dans ce Dieu d’Amour doit rester attachée, car les prophéties bibliques sont maintenant vérifiables, contrairement à ce que peut annoncer tout mouvement collectif, qu’il s’agisse d’une église ou d’une nation. C’est aussi pourquoi en Jésus-Christ, non seulement Dieu ne réprouve pas celui qui éprouve les paroles de quiconque parlant en son nom, mais le demande à quiconque veut le suivre et lui seul. Il le demande afin que personne ne soit dupe et ne vienne à se perdre en persistant à donner raison à une croyance collective non conduite par lui, comme nous le dit l’apôtre Jean à propos de la « grande prostituée » en Apocalypse 18-4/5 : Sortez du milieu d'elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n'ayez point de part à ses fléaux. Car ses péchés se sont accumulés jusqu'au ciel, et Dieu s'est souvenu de ses iniquités.

S’il est un fruit qui est à proscrire aujourd’hui dans « l’Église », c’est bien d’adopter au nom de Dieu, celui réservé à Satan dans la répression et la violence, si nous ne voulons pas finir notre vie spirituelle avec lui. Plus l’humain se rapproche de la nature divine, plus nous devons apprendre à nous comporter selon Dieu, qui ne s’abaissa pas lui-même à réprimander l’humain, mais utilisa Satan, de nature animale identique à l’humain d’hier, pour en assurer la fonction. Le temps est en effet venu qu’il soit lié pour mille ans, avant d’être relâché pour peu de temps, à la fin du septième jour de Dieu, pour emmener avec lui toute tradition animale et être définitivement retiré d’un encadrement spirituel sur l’humain, générateur d’erreurs dans son système émotionnel.  

La recherche d’une vraie pureté spirituelle, qui ne peut s’acquérir humainement, est devenue indispensable, dans la mesure où l’humain ne naitra bientôt plus doter de l’ancienne logique, une fois sa victoire obtenue sur Satan, au travers de Christ dans les cieux. L’esprit dans son cerveau sera alors de nature divine, même si ses sentiments resterons influencés par certaines erreurs d’origine éducationnelle, dont l‘agression physique devra au minimum être absente.

Tout système répressif utilisé pour obtenir une forme de consensus sociétal est donc appelé à disparaitre tôt ou tard, puisqu’ils n’avaient pour vocation que la mise à l’écart des parts de la société, qui ne correspondaient pas à l’image du respect de la parole de Dieu, que le monde d’avant 1968 devait s’imposer pour considérer accomplir la volonté divine, ou celle établie comme tel dans le communisme par exemple.

Si le résultat apportait une certaine « sanctification », sans laquelle personne ne peut voir le Seigneur encore aujourd’hui, ce n’est pas pour autant que tous ceux qui se donnaient l’apparence de bons chrétiens le faisaient de « cœur », comme Dieu veut nous voir l’accomplir aujourd’hui. Nous devons pour cela faire la différence entre la sanctification nécessaire à l’accomplissement de toute notre part, et celle du renouvellement de l’esprit que Jésus veut placer lui-même en nous. Ce renouvellement, que ce soit dans notre « cœur », ou dans notre cerveau, n’est pas accessible à l’humain, mais seulement à Dieu si nous lui en laissons la possibilité comme nous l’avons vu.

Comme nous l’avons également vu, sans le droit à l’erreur, dont ne dispose aucune société assujettie à toute forme de consensus, qu’il soit communiste ou chrétien, musulman ou bouddhiste, il nous serait toujours aussi impossible d’ouvrir les portes au bon moment à cette réécriture de l’esprit à Jésus. C’est là une importance capitale pour ne pas condamner les démocraties dans leurs faiblesses, mais les soutenir dans la vocation que Dieu mit sur elles, pour qu’elles n’entrent pas dans la tolérance au péché comme beaucoup le pensent, mais dans la volonté de laisser à Jésus la capacité de remplir sa vocation, afin que chacun puisse en bénéficier pleinement. Le simple fait d’imposer Dieu à quelqu’un est lui interdire de se tourner lui-même vers le vrai Dieu, puisqu’il se trouve contraint de devoir utiliser son propre système émotionnel ancien, afin de ne pas donner de droits spirituels à Satan. Si au niveau sociétal, nous étions toujours dans le même type de sanctification qu’avant, non seulement nous ne serions pas dans la volonté divine dans nos démocraties, mais nous lutterions contre Dieu au profit de cet « ange déchu » qu’est Satan, aujourd’hui projeté sur terre.

Cela ne veut pas dire que certaines des valeurs que Vladimir Poutine revendique aujourd’hui ne sont pas justes, lorsqu’il utilise la Parole de Dieu contre ce qu’il appelle, le « nazisme occidental », mais c’est le fruit au travers duquel il l’impose au monde par la force, qui est là pour nous prouver l’esprit qui le conduit à parler ainsi. Si certains de ses propos peuvent donc être des plus justes, le poison qui leur est ajouté est dans la façon révolue de les obtenir, qui correspond à sa nature spirituelle pré Adam et Ève.

Si la fausse Russie de Vladimir Poutine ne peut le comprendre, c’est que l’orientation spirituelle générée par les années communistes, a été préméditée par Satan pour éliminer toute forme de progression vers la communion de Dieu, afin de fermer le plus possible aux russes l’accès à l’Amour de nature divine, comme Dieu veut l’apporter à l’humanité durant le millénium qui arrive. De façon très compréhensible à leur niveau, ils appellent les démocraties chrétiennes, Sodome et Gomorrhe, car leur entendement ne peut pas faire la différence entre la nécessité de gérer différemment leur système émotionnel, pour en obtenir de Dieu lui-même le comportement lié à la véritable nature divine. S’il est vrai que selon un regard seulement humain, cela conduit un temps à une disparition flagrante des valeurs chrétiennes de base, cela n’est vrai qu’un temps, avant d’obtenir un résultat bien meilleur qu’avant, par un accès de « cœur » à l’Amour divin.

Il est par contre une autre Russie, la vraie, qui garda un réel attachement à Christ, et qui est capable de se réveiller si nous lui apportons le témoignage vécu de Christ et le réel objectif divin, en réponse aux sarcasmes proférés envers l’occident par Vladimir Poutine ou sa télévision d’état.

La vie d’une nation ne se regarde pas selon la durée de vie individuelle humaine, et si la Russie fut prise au filet d’un système satanique, qui tendit sa toile depuis maintenant plus de deux siècles, nous ne devons pas oublier ce qu’était cette Russie au temps de notre révolution de 1789 en France, afin de l’amener à renaitre de ses cendres. Nous serions sinon à l’image des frères de Joseph, qui par jalousie le vendirent aux marchands madianites, au grand désarroi de Jacob leur père, et peut-être aujourd’hui au grand désarroi de Dieu notre Père.

Aux tous premiers jours suivant notre révolution française de 1789, le Tsar de cette Russie travaillait déjà au travers d’Alexandre 1er à instaurer en 1801 ce qu’il considérait devoir être une vraie démocratie, auquel vint se joindre un temps, un chrétien républicain français, en la personne du général Jean-Victor Marie Moreau.

Le tsar Alexandre 1er n’était autre que le petit-fils de la Grande Catherine II de Russie, qui naquit elle-même en 1729 à l’extrême nord-ouest de la Pologne, d’un couple princier allemand, qui allait confier son éducation à une huguenote française, Babette Cardel. Durant une enfance située dans un rayon de moins de cent-quarante kilomètre de Berlin, cette huguenote allait enseigner les manières et les grâces de la société dont Catherine était issue, ainsi qu’apprendre la langue française à cette future tsarine. A ses quinze ans, celle-ci allait alors devenir l’épouse du tsar Pierre III de Russie, avant de le destituer pour en prendre la succession, et de mettre un fils au monde de l’un de ses amants. Devenue grand-mère, elle allait cependant prendre en charge l’éducation de ses petits-fils, afin qu’ils soient enseignés tant au français qu’au valeurs démocratiques, au travers d’un précepteur républicain suisse de langue française, Frédéric César de la Harpe. C’est ainsi qu’à la succession tumultueuse de son père Paul 1er, le petit-fils de la Grande Catherine, Alexandre 1er, se disant lui-même républicain, allait tenter d’apporter des valeurs démocratiques à son pays, autant qu’il allait lui être possible de le faire. Pour de multiples raisons, dont une partie est imputable à la situation internationale dictée par Napoléon 1er, ses tentatives de réformes ne se soldèrent pas par un changement en profondeur sur le plan intérieur.

Nos livres d’histoire ne sont pas toujours très éloquents envers l’immoralité démocratique de nos ancêtres, dans lequel l’opportunisme de Napoléon le conduisit dans ce qu’il appela « émanciper » l’Europe, non pas pour en faire une vraie démocratie chrétienne européenne, comme c’était le cas d’Alexandre 1er, mais pour mieux se l’approprier.

S’il est toujours possible de porter le doute sur la sincérité républicaine d’Alexandre 1er, le général Jean-Victor Marie Moreau, que nous venons de citer, permet de lever le doute de toute ambiguïté à ce sujet, car parfaitement contemporain avec Bonaparte, au point d’avoir été nommés tous deux généraux en même temps, leurs motivations étaient opposées. Si l’un allait suivre le parcours connu de tous, avec la gloire qui lui est généralement attribué en France, l’autre, le vrai et le sincère envers la république et la nation, allait non seulement être discrédité, mais condamné et pourchassé jusqu’à devoir émigrer clandestinement, faute d’avoir soutenu le général opportuniste dans ses soifs de conquête de l’Europe entière.

Si ce général Moreau, Morlaix en 1763,  fut en effet nommé général en même temps que Napoléon Bonaparte, le premier consul s’en méfiait comme de la peste, car il était sans doute le seul qui ait pu le supplanter politiquement. Républicain libéral dans l’âme et patriote convaincu qu’il était, Jean Victor Marie Moreau, fut accusé de trahison avec une très forte accusation de Napoléon, à cause de son refus de se rallier à lui pour conquérir l’Europe. Au lieu d’être utile à la république française, Moreau dut alors s’exiler aux États-Unis où il fut acclamé en héro, avant d’être introduit auprès du tsar Alexandre 1er, comme un soutien à ses motivations de démocratie. Leurs échanges furent de courte durée en raison des circonstances extérieures à la Russie, car malgré ses envies de rétablir un régime républicain et démocratique en France, Moreau mourut des suites des blessures infligées par un boulet de canon français.  La preuve nous est alors fournie de la sincérité de ce tsar que fut Alexandre 1er, face à ses désirs de démocratie, car il fit inhumer le général Moreau en tant que feld-maréchal de Russie, dans la crypte de l'église Sainte-Catherine des Français à Saint-Pétersbourg, sur la tombe duquel il fit graver l’épitaphe " Moreau, chevalier de l'humanité ".  

Une autre preuve, peut-être plus flagrante encore, de la sincérité républicaine d’Alexandre premier, fut le respect de sa parole donnée à Jean Victor Marie Moreau, de ne pas amputer la France d’un quelconque territoire après la victoire des alliés contre Napoléon. Si sa soif de conquête eut été sa motivation envers Napoléon, comme certains le sous-entendent, en raison de ses nombreuses autres conquêtes, pourquoi aurait-il fait tout particulièrement grâce à la France ?

Si le général Moreau fut plus tard reconnu maréchal de France à titre posthume, Alexandre 1er continua difficilement quand-à lui de remplir le difficile métier de tsar qui lui pesait de plus en plus. C’est ainsi que selon toute vraisemblance, il organisa ses funérailles le 19 novembre 1825, avant de finir sa vie en tant que Starets sous le nom de Fiodor Kouzmitch. Si cela ne fut jamais cent-pour-cent vérifié génétiquement, de nombreuses circonstances tendent à le prouver. Les plus flagrantes sont celles de ses funérailles, durant lesquelles son cercueil resta fermé, contrairement aux traditions orthodoxes, que sa tombe fut plus tard rouverte sans qu’il y soit trouvé de corps et qu’il ait été reconnu publiquement avant sa mort, par certains témoins de l’époque, confirmé par certains de ses propos que seul le tsar pouvait connaitre.

Il ne nous appartient pas d’en affirmer les dires, pas plus que de définir pourquoi cette nation fut prise en otage par les méfaits occasionnés par Napoléon, tout autant que par les courants révolutionnaires dont nous retrouvons les aboutissants au travers de 1917. Une chose est certaine, c’est que ce n’est pas à nous d’enfoncer la Russie en lui attribuant tous les pires mots de la terre, car cette période exista, tout comme existèrent bien des exactions de par le monde, faites au nom de Dieu par la civilisation Judéo/chrétienne. Toutes ces exactions, dont nous n’avons pas toujours à être fiers, sont là pour conduire aujourd’hui notre entendement dans la défense des russes orthodoxes d’alors et même de ces tsars, afin que nous devenions les défenseurs devant Dieu de la vraie Russie chrétienne existant encore aujourd’hui dans le cœur de certains russes, comme Jésus nous le demande.

Cette vraie Russie est celle que Dieu garde dans son cœur, car cette Russie était honnête et intègre, et beaucoup d’entre eux ne plièrent pas le genou devant Staline, à l’image d’un ami ukrainien que je connu en 1981, et qui était lui-même descendant de cette lignée. Si la majorité d’entre eux subirent à certaines périodes les affres du Goulag, jusqu’à ce que mort s’en suive, certains de leurs descendants ne disposent aujourd’hui pour toute information concernant l’occident chrétien, que les shows télévisés délirants des chaines de propagande.  

Ce sont autant de gens sincères, qui sont eux-mêmes tenus à l’écart de ce nouveau monde dans lequel Dieu veut d’abord apporter les Armes divines à chacun, afin que personne ne soit mis de côté envers le baptême du Saint-Esprit, jusqu’à pouvoir travailler à recevoir l’Amour divin de Christ dans les cieux.

Nous vivons des temps, qui ont cela de particulier, que tout se met en lumière si nous savons porter notre regard selon l’ensemble de ce que Jésus appela « l’Église ». À l’échelon de l’humanité, nous y trouvons ce que chacun appelle la civilisation Judéo/chrétienne, dans laquelle figure alors le Général de Gaule sur la France, qui incarna la rigueur chrétienne, au même titre que Moïse sur Israël et duquel allait naitre seulement quatre ans après le 8 mai 1945, le premier conseil de l’Europe. Six ans seulement après ce 8 mai 1945, le traité de Paris allait mettre sur pied la Communauté de l’Europe du charbon et de l’acier et seulement douze années allaient suffire pour que le traité de Rome voit le jour, avec la naissance de l’Union Européenne et de ses six états fondateurs, le 25 mars 1957.

Si nous osons citer le Général de Gaule en rapport à la spiritualité des temps que nous vivons, c’est qu’il fut à la fois celui qui s’imposa aux alliés pour devenir le libérateur de la France, sans l’intervention duquel elle n’existerait plus, ou du moins plus sous sa forme actuelle, mais en tant que territoire sous tutelle anglaise ou américaine, comme l’envisageaient Churchill et Roosevelt. Contrairement à ces alliés auxquels il s’imposa, le général de Gaule devint quant à lui président de la République Française, jusqu’à la date fatidique de 1968, année du basculement vers une gestion du monde chrétien dans un mode de fonctionnement par « amour » au travers des démocraties.

Si sur le plan spirituel, nous ne voulons pas prendre tous ces faits au premier degré, il est cependant des circonstances troublantes, en rapport aux temps que nous vivons, au travers desquelles nous devons savoir nous laisser interpeller. Ces circonstances sont là pour nous démontrer que rien n’est impossible à celui qui croit, non pas dans ses propres forces, mais dans celles que Dieu peut lui donner pour servir son pays, si sa volonté est de bénir l’humanité.

Peut-être alors que certains chrétiens russes qui n’ont jamais plié le genou, devant ce que Satan fit de la Russie se lèveront au nom de leurs pères disparus dans les Goulags de Staline, au même titre que ces millions d’ukrainiens de l’Holodomor.

Ils auront pris conscience qu’ils n’avaient pas le droit de voir leur si belle nation disparaitre des voies de Dieu et génèreront un courant semblable à celui que le Général de Gaule en France participa à générer dans l’Europe.

Cette Europe de demain disposera alors peut-être de tous ses membres, dont feront partie la Russie, l’Ukraine la Moldavie et tant d’autres, pour affronter ensemble le Millénium qui vient sur le monde. Si c’est le cas, tout ne sera pas toujours facile, face à l’intelligence artificielle, surtout dans son auto perfectionnement, mais Dieu ne demande jamais au-delà de nos capacités et c’est à Lui que nous devons faire plus confiance qu’à nous-mêmes, au travers de son Saint-Esprit, dont tout humain sera alors doté dès sa procréation.  

Puisse Dieu nous pardonner tous nos péchés passés, présents et futurs, afin qu’un jour toutes les nations de la terre puissent Glorifier Jésus, son fils bien Aimé, qui prépare aujourd’hui ce Royaume des Sacrificateurs pour Dieu son Père sur cette terre.

A Lui soit toute la Gloire aux siècles des siècles ! Amen !